BDSM AU BOULOT

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 1 an

Bonjour ! Je m’appelle Lisa, j’ai 38 ans, mariée, une fille de 7 ans. Depuis 6 ans, je travaille au sein de PROG-XL, un éditeur de logiciels spécialisés dans les télécommunications par satellite. PROG-XL compte 110 personnes. Je suis intégrée au service Administration Des Ventes, en tant qu’assistante commerciale.

Depuis maintenant 3 ans, j’assure le secrétariat de 5 attachés commerciaux : suivi des fichiers clients, plannings et agendas, soutien téléphonique, organisations des déplacements, notes de frais...

Tout un programme qui ne me laisse pas le temps de souffler, à tel point que je dépasse allègrement 45 heures par semaine. Dur dur quand on a une vie de famille. Mais j’aime mon travail et je m’épanouis pleinement dans cette entreprise, où règne une ambiance plutôt sympa et bon enfant entre collègues.

Il y a moins d’un an maintenant, un nouveau boss est arrivé. Il s’agit de Hervé, le neveu de Noël, notre PDG. Il a surtout été recruté pour seconder Noël, celui-ci ayant décidé de ne plus travailler qu’à 40% à cause de ses ennuis de santé. Noël a confié à Hervé, entres autres, le management de l’équipe commerciale, soit près de 30 personnes.

Hervé a 45 ans, il s’est parfaitement intégré à PROG-XL. Il met la main à la pâte et n’hésite pas à accompagner les commerciaux lors de leur tournées, quel que soit le pays. C’est un bourreau de travail ! De surcroît, il sait être compréhensif, convivial et à l’écoute de ses subordonnés. C’est aussi un bon mari et bon père de famille, 20 ans de mariage, 2 jumeaux fille et garçon, tous 2 futurs ingénieurs. Par de tracas donc sur le plan personnel, sinon qu’il souhaiterait passer plus de temps avec sa famille.

La communication par satellite devient un secteur très porteur, en pleine expansion. Chez PROG-XL, les commandes affluent de plus en plus. A tel point que le service commercial a été renforcé avec plus d’attachés commerciaux et plus d’assistantes : nous sommes maintenant 8 assistantes qui devons parfois accompagner les commerciaux lors de leurs voyages. Hervé continue à chapeauter tout cela. Il est de plus en plus sédentaire au siège social, il est aidé par 2 secrétaires.

Il y a peu, Hervé m’a demandée de l’assister, en plus des 5 commerciaux dont je m’occupe déjà. Je lui ai répondu que si j’acceptais, je ne pourrais pas remplir convenablement ma tâche, étant déjà submergée par ma charge de travail actuelle. Il a donc décidé de m’ôter certaines tâches comme les notes de frais. Ouf toujours çà de gagné... Hervé souhaite que lui et moi soyons en binôme 3 jours par semaine de 8h30 à 10h30, dans son bureau. Pendant ce créneau, je dois surtout l’aider dans ses reportings, chiffres à la clé.

Or il se trouve que Fabrice, un des attachés sur la zone Amérique du Sud, baisse son C.A. depuis quelques mois déjà. Alors que le C.A. général augmente. Aussi Hervé m’a demandée d’éplucher les dossiers de Fabrice pour rechercher la cause de cette baisse. J’ai regardé Hervé bien en face et lui ai répondu : «Non Hervé, ce n’est pas mon rôle ! Mon rôle est d’assister au mieux les commerciaux et non pas de les contrôler !» En disant cela, je me suis sentie gênée car non seulement je ne me serais jamais crue capable de tenir tête à mon boss, mais en plus je voyais bien que cela lui posait problème ! Au lieu d’insister, Hervé a juste fait la moue. Heureusement il en est resté là et a sans doute trouvé une autre solution.

Plusieurs jours plus tard, il m’a demandée de l’accompagner voir un client au Maroc et ce dans 2 jours ! J’ai piqué un fard et lui ai répondu du tac au tac : «Non Hervé, ce n’est pas possible. Tu ne peux pas me demander çà à 2 jours du départ ! Sylviane qui parle arabe et est célibataire serait, je pense, ravie de t’accompagner.» Eh bien, cela lui a cloué le bec et il n’a pas insisté...

Et là je me suis dit : J’ai peut-être un ascendant sur cet homme, Hervé, car bien qu’il soit mon boss, il n’insiste pas trop quand je refuse d’accéder à ses demandes.

Hervé est du genre tenace. Peu de temps après, il me demande de l’accompagner à un dîner d’affaires, le soir-même à 20h00 ! Je lui ai carrément répondu : «Tu te fous de ma gueule ?», regrettant aussitôt mon franc parler... Il est devenu rouge comme une tomate et il s’est permis d’insister : clients très importants etc... Cela m’a mise hors de moi, je me suis approchée de lui et lui ai dit mes 4 vérités, vie familiale etc. Sans faire exprès, je l’ai bousculé, il a trébuché. Je suis sortie vite fait prendre l’air.

Le lendemain matin, aucune remontrance de sa part.

Après quelques jours de calme, Hervé a remis çà : maintenant, il souhaite ma présence à ses côtés au salon SATELNET à Villepinte, qui plus est, se tient le week-end prochain et par dessus le marché le week-end entier sur place !!! Alors là, ni une ni deux, j’ai fermé les stores de son bureau, j’ai attrapé Hervé par la cravate et lui ai dit : «Tu cherches vraiment la bagarre ?» Situation cocasse : imaginez ce grand gaillard du haut de ses 1m90 et moi lui tenant tête, du haut de mes 1m60 perchée sur mes hauts talons !

Sa réaction : il se dandinait tout penaud ! Je lui ai quand même dit : «C’est là toute ta réaction ? Mais réponds-moi bon sang !» Il est resté inerte. J’ai renchéris : «Tu réagis comme un enfant pris en faute et tu sais ce qu’on fait aux enfants qui font des bêtises ?» Sur ces entrefaites, je suis sortie furieuse.

Le lendemain, Hervé à fait comme s’il ne s’était rien passé ! J’ai repensé pendant plusieurs jours à cette situation : qu’attendait de moi cet homme à la fin ? Puis accaparée par mon travail et ma vie de famille, j’ai cessé d’y penser...

Jusqu’à ce qu’une autre occasion se présente.

Hervé, prenant un air timoré, me tint à peu près ce langage : «Lisa, je sais que tu es submergée de travail mais Carole, une de mes secrétaires, est malade cette semaine. Accepterais-tu de prendre sa place pendant quelques jours s’il te plaît ?» Alors là mon sang n’a fait qu’un tour ! J’ai baissé tous les stores, fermé la porte à clé, débranché le téléphone. Puis reprenant mon calme, j’ai pris Hervé par le bras, je l’ai fait basculé sur son bureau et je lui ai dit de se taire. Tout aussi calmement, j’ai baissé son pantalon jusqu’aux chaussettes, puis son slip jusqu’à ses genoux. J’ai dénoué sa cravate et m’en suis servie de lien pour lui attacher les mains dans son dos. J’ai cherché une playlist sur son PC et j’ai augmenté le son. Je me suis emparée d’une magnifique règle métallique qui traînait sur son bureau. Et là je m’en suis donnée à cœur joie : j’ai fessé cet homme, mon boss. Doucement au début, puis tout la rancœur que j’avais accumulée ces dernières semaines semblait se transmettre dans mes mains. Alors je me suis mise à frapper de plus en plus fort, de plus en plus vite, insensible aux gémissements puis aux cris d’Hervé.

Jusqu’à ce que moi-même je sois complètement mouillée ! Les fesses d’Hervé étaient rouge sang ! Reprenant mes esprits, je lui ait dit : «Hervé, petit enfant, tu n’as que ce que tu mérites !». Je l’ai détaché et l’ai laissé à son triste sort. Je suis allée continuer ma journée de travail, me demandant comment se passeraient les prochains jours. En tout cas, le soir même à la maison, j’étais toute excitée, pour le plus grand bonheur de mon mari...

En pleine nuit, je me suis dit, pleine de remords : mais qu’as-tu fait idiote ? Tu risques fort de te retrouver licenciée maintenant, c’est malin». Le lendemain, je suis arrivée au bureau couverte de honte. Quand j’ai revu Hervé à 8h30 dans son bureau, il m’a dit :

«Lisa, cette correction m’a fait le plus grand bien : j’ai baisé avec ma femme comme je ne l’avais pas fait depuis longtemps, elle n’en revenait pas et m’a demandé pourquoi on ne faisait pas çà comme çà plus souvent ! Aussi, je souhaite que cela se fasse maintenant les lundi, mercredi et vendredi, non plus le matin mais l’après-midi de 16h00 à 18h00 et dans un bureau plus intimiste au 3ème étage. En fait, dans le bureau du PDG, Noël, qui ne travaille plus ces jours-là. De plus, je me permets de vous vouvoyer et dès à présent, je vais vous décharger de tâches trop subalternes. Donc, on se revoit après-demain à 16h00 si vous le voulez bien».

Du coup, c’est moi qui suis restée sans rien dire. Je suis retournée à mon bureau, expliquant à mes collègues que mon emploi du temps avait de nouveau changé. Le jour J, peu avant 16h00, coup de fil d’Hervé : «Lisa, je suis disponible au 3ème étage». J’ai attendu allègrement 16h15, puis je suis montée. Le bureau en question, celui de Noël, dispose d’un salon, un bar, une salle de réunion et un cabinet de toilette, la classe quoi !

Hervé a fermé le bureau à clé et m’a demandé si je voulais un verre. Nous avons siroté un jus de fruit dans le coin salon. Je ne l’ai pas laissé parlé, voulant tout de suite mettre les points sur les i.

«Hervé, ce que nous sommes en train de commencer, c’est une relation D/s. Moi la Dominante, toi le soumis. Ce créneau de 16h00/18h00 s’appellera désormais séance. Aussi c’est moi qui déciderai de tout : déroulement et durée de la séance, ambiance, tenue, matériel etc... Tu me devras obéissance sans rechigner. Si tu n’es pas d’accord, dis-le moi tout de suite et nous arrêterons immédiatement cette relation.»

Hervé, qui s’était peut-être renseigné auparavant sur son rôle de soumis, me répondit : «Oh oui Madame Lisa, je vous appartiens corps et âme, je ferai tout ce que vous me demanderez et subirai tout ce que vous me ferez.»

J’enchaînai, très surprise : «Bien, très bien, mon petit Hervé. Pour me remercier, tu vas passer cette séance ainsi : tu vas d’abord enlever et nettoyer mes chaussures avec ta langue puis tu me lécheras les pieds. Je serai assise sur ton fauteuil, toi tu seras à genoux sous le bureau, les mains dans ton dos, nouées à l’aide de ta cravate, pendant que j’étudierai un dossier.»

J’ai libéré Hervé au bout d’une heure de ce régime et je lui ai dit : «Voilà le dossier que j’ai étudié : il s’agit d’une liste de matériel qui sera nécessaire pour nos séances. Tu as 5 jours pour tout te procurer. D’ici là à lundi même lieu même heure.»

De mon côté, je me suis procuré le soir même un collier muni d’une laisse. Et le lundi suivant, j’ai dit à Hervé : «Mon petit Hervé, aujourd’hui, tu vas faire le toutou. Mets toi à poil et à quatre pattes.» «Oh oui Madame Lisa.» Je lui ai passé le collier autour du cou, j’ai relié le collier à la laisse et j’ai promené Hervé dans tout le bureau. Nous en avions fait dix fois le tour lorsque j’entendis : «Aïe j’ai mal aux genoux là, Lisa arrête, faisons une pause !»

«Quoi ? qu’est-ce qui te prend ? Qui t’a permis de me tutoyer ? Et t’ai-je déjà autorisé à te plaindre ?»

Joignant le geste à la parole, j’ai attrapé sa paire de couilles que j’ai frappé de plus en plus fort. Hervé hurlait (heureusement le bureau est bien insonorisé ; et nous avions passé en boucle une playlist assez fort).

«Puisque c’est ainsi, je vais te faire un face-sitting. Allonge-toi par terre sur le dos et je ne veux plus t’entendre !» J’ai soulevé ma jupe, ôté bas et slip. Je me suis assise sur le visage d’Hervé.

«Maintenant, fais jouer ta langue sur mon clitoris, et ce jusqu’à la fin de la séance.» Les orgasmes ont commencé à m’envahir. Je m’appuyais de plus en plus sur le visage d’Hervé. Il s’est trouvé au bord de l’étouffement 2 ou 3 fois. Il me suffisait alors de relâcher la pression afin qu’il reprenne sa respiration.

Le temps a passé beaucoup trop vite, nous avons débordé : mince 18h30 ! J’avais des courses à faire. Sans rien lui dire j’ai libéré Hervé et je me suis précipitée dans les toilettes pour me rafraîchir. J’ai laissé Hervé en plan et suis sortie précipitamment en lui disant : «A mercredi et n’oublie pas le matos.» Une toute petite voix m’ a répondu : «Oui Madame Lisa.»

J’avais besoin de faire le point mais une fois rentrée à la maison en famille, je n’ai pratiquement pas eu une minute à moi. En fin de soirée, j’ai quand même dit à mon mari : «Ces derniers jours ont été éprouvants au boulot. Aussi j’ai besoin de faire un break en prenant un bon bain. Laisse moi seule une heure s’il te plaît.» Je me suis fait couler un bon bain bien chaud avec plein de mousse, lumière tamisée, bougies etc... et j’ai tout ressassé : qu’est-ce que je suis en train de faire ? Dois-je continuer ou arrêter ? Dois-je avertir mon mari alors que notre sexualité de coupe s’épanouit de jour en jour ? J’ai l’intuition qu’il se produit le même chose dans le couple d’Hervé. Donc au final tout le monde est heureux. Allez, je continue, Inch Allah.

Le mercredi suivant à 16h00 dans le fameux bureau :

«Bonjour mon petit Hervé. Première chose : ce bureau nous allons désormais l’appeler le Donjon. Maintenant montre moi le matériel.» Je reconnais qu’Hervé s’était décarcassé pour obtenir dans les temps tout ce que je lui avais demandé. Enfin presque tout, il manquait une chose : le Magic Wand ! «C’est bien Hervé mais je ne vois pas le Magic Wand, où est le Magic Wand ?» lui ai-je demandé doucement. Il m’a répondu : «Oh pardon Madame Lisa, les magasins sont en rupture. J’ai dû en commandé un en ligne. J’attends le délai de livraison.»

«Bon OK, on verra en fin de séance ce que je vais faire de toi. Aujourd’hui, je vais te faire perdre ta virginité. Hervé, tu es toujours vierge du cul n’est-ce pas ?» Hervé m’a regardé, blême et tremblotant : «Oui Madame Lisa et pour vous je veux bien perdre cette virginité.»

«Bon, va dans le cabinet de toilette. Avec la poire que tu as apportée, fais-toi un lavement. Aides-toi du lubrifiant au besoin. Reviens-moi propre. Et attend que je t’appelle.»

Pendant ce temps, j’ai aménagé avec tous les coussins disponibles le canapé du coin salon, de telle sorte qu’Hervé puisse s’y basculer de la façon la plus confortable possible, le cul largement offert. Puis je me suis moi-même déshabillée, en gardant mes sous-vêtements et j’ai enfilé une nuisette sexy. Sur mon appel, Hervé est venu vers moi, un peu anxieux. Je l’ai étreint chaleureusement et embrassé furtivement. Puis je lui ai dit de basculer sur le canapé. J’ai bandé ses yeux, attaché ses mains au-dessus de sa tête et mis un bâillon dans sa bouche. Et j’ai commencé à faire ce que je n’aurais jamais cru que je fasse un jour avec quiconque : j’ai enculé Hervé !

Je lui ai mis beaucoup de lubrifiant sur son fessier que j’ai écarté, écarté, écarté. J’en ai enduit son anus. J’ai rentré d’abord un doigt très doucement : çà glissait, Hervé se laissait faire. Alors j’ai commencé à faire des va-et-vient, tout en lubrifiant. Son anus se dilatait, à mon grand plaisir. Et j’ai rentré deux doigts, trois doigts, j’ai accéléré le va-et-vient. Je mouillais comme pas possible. Ensuite j’ai prévenu Hervé que j’allais lui introduire des plugs et des godes. Il s’est laissé faire. J’ai introduit d’abord les plugs, l’un après l’autre, de plus en plus gros. Hervé gémissait, je jouissais.

Je suis passée ensuite aux godes, idem : de plus en plus gros. Et j’ai fini au gode ceinture avec un gode énorme. Je lui infligeais un puissant va-et-vient, je lui griffais le dos, j’ai enchaîné plusieurs orgasmes, je n’étais plus moi-même... J’entendais qu’il gémissait lui aussi, de plaisir !

Reprenant peu à peu mes esprits, j’ai vu que nous avions largement dépassé 18h00 ! Hervé était encore en transes, je l’ai libéré, je l’ai dorloté. Nous avons pris un en-cas et nous avons pris le temps de bavarder pour récupérer. Après quoi, je lui ordonné d’aller faire un brin de toilette et moi je me suis rhabillée vite fait.

«Hervé, je te laisse tout remettre en ordre. D’ailleurs dorénavant, c’est à toi qu’il incombe de t’occuper du Donjon : qu’il n’y ait aucune trace de notre venue lorsqu’on le quitte et qu’il soit prêt lorsque nous y rentrons. Débrouille toi comme tu veux avec les femmes de ménage et l’intendance.» «Autre chose Hervé : comme tu n’as pas pu te procurer le Magic Wand dans les temps demandés, je vais te poser une cage de chasteté dont je garderai la clé. Je te l’enlèverai lorsque tu reviendras avec le Wand.»

Et là, Hervé a pris un air effaré : «Mais ma femme que vais-je lui dire ? Comment va t’elle réagir lorsque....?» Je lui ai coupé la parole : «Mais c’est à toi de gérer çà mon petit Hervé, brave petit soumis. Je suis sûre que tu manqueras pas d’imagination et que tu trouveras un stratagème approprié. Allez je te laisse.»

Et voilà comment j’ai soumis mon boss, au bureau. Et tout cela dans la plus grande discrétion possible. Si des collègues ont eu des doutes, ils ne l’ont pas fait transparaître...

Il s’en est suivi bien d’autres séances et ce pendant quelques années. Nous avons même dû changer de Donjon afin de pouvoir installer sling, poutres, pilori etc... Jusqu’à ce que Hervé s’en aille découvrir d’autres horizons et décrocher un poste important dans une grande entreprise. Nous avons préféré ne pas rester en contact, chacun vivant sa vie. Une chose est sûre : nos 2 couples (Hervé et sa femme, moi et mon mari) n’ont jamais été aussi épanouis sexuellement parlant.

Peut-être grâce ou à cause de cette relation D/s

FIN

Endura

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Chère Endura, ce super récit expose clairement une évolution de pensée dont je ne peux que vous féliciter. Amitiés
Voilà une femme qui a su peu à peu prendre l'ascendant sur un patron qui ne demandait sans doute que ça.
Oui le récit m'a plu merci encore.😍😍
Dominer son patron....le fantasme absolu !
merci beaucoup pour ce récit tres excitant
Super récit excitant à souhait
Merci pour ce récit!
Punaise c'est vraiment terriblement bien écrit ! J'adore !!
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